mercredi 30 avril 2008

Absence prolongée… ou congé sabbatique?

Un peu des deux, je dirais. ;o}

Après 3 semaines de réflexion, passant à deux cheveux de fermer ce blog (merci à Jean-Claude qui m’a persuadée du contraire!), j’ai décidé que l’écriture reprendrait la place que je lui réservais habituellement. Il y a… j’ose à peine l’avouer... un an…


«Pourquoi remettre à plus tard ce que l’on peut effectuer dans l’immédiat?» me disait souvent mon père. Ce qu’il était sage mon papa! :P

Voilà plusieurs mois que je n’ai touché à rien, côté rédaction. J’ai quelques projets sur la glace et si je laisse le temps filer (comme il sait savamment le faire), je sens que la banquise va s’incruster. Pour de bon. Et là, ça va être vraiment ardu de replonger dans le processus littéraire. Soupir.

Toute forme d’art demande une certaine régularité pour que la souplesse s’allie à notre inspiration. Une pratique régulière aide à la production et permet d’exprimer, avec aisance, la fluidité de notre pensée. De notre vision. Que ce soit sur une toile, sur un bloc de pierre ou sur le cuir. L’écriture, le médium de mon choix, n’y échappe pas. Ainsi, un rendez-vous régulier avec le clavier exerce notre esprit et peaufine notre syntaxe. Avec le temps, l’habitude d’écrire devient une seconde nature…

On devient écrivain en écrivant. Rien de sorcier là-dedans. C’est une évidence pratiquement déconcertante.

Mais tellement vrai!

2 commentaires:

Anonyme a dit…

La mer appartiendra toujours au marin.
Et on ne peut pas enlever l'écriture à l'écrivaine. Car le naturel revient au galop!

Heureuse que tu sois de retour! Tu me manquais.
xoxo

Anne Jutras a dit…

Oh, comme c'est bien dit! ^__^

Merci pour ton accueil, Josée!

La lecture est la nourriture de l'âme.

La lecture est la nourriture de l'âme.
Un bon livre, une brise fraîche, une histoire exaltante pour nous tenir compagnie, quoi de mieux pour s'évader.